BONNIE AND CLYDE

Bonny Parker et Clyde Barrow, les amants criminels les plus célèbres du XXe siècle.

7 commentaires:

hanzz a dit…

you are one of the best I have ever met.

Thierry COQUELET a dit…

Je connais bien la photo qui t'a inspirée, et te tire mon borsalino pour cette illustration. Tu as visé juste (entre les deux yeux). Remarquable !

charles Da Costa a dit…

Superbe composition mon Denis! en plein dans le mille! ca me donne envie de revoir le film....

robi pena a dit…

Toujour un plaisir pour moi, voir tes traveaux, super jolis, du très grand talent!!! Je t'ai adjoint dans mon «blogroll» :-) Merci beaucoup et à bientôt!!!

Unknown a dit…

encore du bon travail merci pour l'info sur renaud et félicitations pour tes dernieres caricatures et tes trés jolies femmes. je ne sais plus ou mettre mes yeux par contre mes mains restent sur le clavier

BOD a dit…

Je connais PAR COEUR ce film où les héros ne finissent même pas derrière les BARREAUX : ta double caricature est excellente !

GRAND a dit…

Hanzz > Thanks enormously my friend! I do not know if I deserve really your compliment, but it touches me a lot!!!

Thierry > Merci beaucoup. Cette photo date de 1933, la qualité visuel n'étant pas des plus bath, j'ai dû "truander" un brin pour certains détails (avec l'aide d'autres clichés).

Da Costa > Merci mon Charles, j'essaye de viser au mieux mais encore longue est la pratique avant d'être un "croqueur d'élite" émérite!

Robi Pena > Merci infiniment à toi Robi, pour le compliment et pour l'ajout dans ton "blogroll" !

Justin > Menteur! tu ne peux pas avoir tes deux paluches sur le clavier vu que t'en as toujours une sur le coeur!...Mes gribouillis et mes pin-uperies te remercient mon Robert!!!

Bodard > Merci pour le compliment et pour ce subtil jeu de mots mon Christophe!
J'aurais très bien pu faire un "arrêt sur image" de l'excellent film réalisé par Arthur Penn avec Warren Beatty et Faye Dunaway (et peut être le ferais-je) mais je trouve cette mise en scène-là des véritables Bonnie et Clyde tellement balèze que j'ai préféré pasticher l'original.